Si on démarre sur des choses simples, le certificat de grossesse est un des premiers document qu’on rédige :
- Il contient la signalétique du patient
- La date présumée de l’accouchement
- Avec en option (pour l’employeur) la date des congés (Et c’est en fait surtout la que ça coince puisque cette date varie en fonction de la parité et du nombre de foetus.)
Les données de la signalétique :
sont encadrées par les balises SG => £[SG:Libellé]#
£SG : Civilité# £SG : Nom # £SG : Prénom#, - Née le £SG : Date de naissance# - Demeurant £SG : Adresse# à £SG : Ville#
La date de début de grossesse:
est argumentée dans la fenêtre SA, et accessible dans les code “DIVERS” avec la balise SH
- Date de début de grossesse : £SH : ddg#
- Les champs DATE :
ont la particularité de permettre des calculs simple au 1er degré, comme la date de l’accouchement
Date prévue de l’accouchement : £SH : ddg¤jj/mm/aaaa^m+9#
Ou ¤ est l’opérateur de mise en forme (ici jj/mm/aaaa => “03/01/2016” et jjjj j mmmm aaaa => “dimanche 3 janvier 2016”
Et ^ celui de calcul qui résume la fonction DATEADD, ajoutant 9 mois (cette fonction ne permet pas les calculs complexes nécessaires pour les congés)
Il y a 4 dates possibles pour le congés prénatal
- 1ere grossesse singleton = 6S
- 3eme grossesse = 8S
- Jumeaux = 12S
- Triplets= 24S
Le meilleur moyen de résoudre un calcul complexe est de le diviser en plusieurs étapes de calculs simples
- je vais donc dans 1 premier temps calculer le nombre de semaines de congés selon la parité et le nombre de foetus
- et dans un second temps décrémenter la date de l’accouchement d’autant de semaines (par la formule magique (DATEADD, “ww”, semaines*-1, DPA)